Que veut dire « dieu » ?
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Que veut dire « dieu » ?
Que veut dire « dieu » ?
Le Cheykh Muhammad Ibn ‘Abdelwahâb –qu’Allah lui fasse miséricorde- a dit « Un dieu, c’est ce que les gens de notre époque appellent « Le cheikh » ou « le Sidi », ceux en qui on croit qu’il y a une force mystique, que les gens pensent être capable de causer le bien et de repousser le mal. Celui qui a ce genre de croyance envers ces personnes là ou même envers un prophète ou qui que ce soit : il l’aura pris pour un dieu autre qu’Allah. Lorsque les fils d’Israël ont eu des croyances envers Jésus fils de Marie et sa mère, Allah les qualifia de dieux, Allah a dit « Et lorsqu’Allah dira « Ô Jésus fils de Marie, est-ce toi qui a dit aux gens « Prenez nous, moi et ma mère, pour des dieux autres qu’Allah » Il répondra « Gloire à Toi ! Je n’ai pas à dire de moi ce qui n’est pas vrai, si je l’avais dit Tu l’aurais su car Tu sais ce qu’il y a dans mon âme et je ne sais pas ce qu’il y a dans la Tienne ! Tu es le seul qui connaisse les mystères… » [Surate 5 verset 116] »41
Et le Cheykh ‘Abdullah Ibn ‘Abderrahmân Abû Butayn –qu’Allah lui fasse miséricorde- a dit « Lorsque l’homme sait ce que veut dire « dieu » et réalise que cela veut dire « l’adoré » et qu’il sait ce qu’est véritablement l’adoration, il se rendra compte que celui qui voue la moindre adoration à un autre qu’Allah aura adoré cet autre et l’aura pris pour un dieu même s’il évite de lui donner le nom de « dieu »42 ou « d’adoré » et qualifie son geste de « cheminement vers d’Allah » ou de « demande d’intercession » ou de « refuge » etc. L’associateur est un associateur qu’il le veuille ou non tout comme l’usurier est un usurier qu’il le veuille ou non, même s’il ne qualifie pas son geste d’usure, et celui qui boit du vin est un buveur de vin même s’il
donne à son geste un autre nom. »43
40 Taysîr Ul ‘Azîz El Hamîd pp. 80, 81
41 Majmû3at Ur-Rasâ’ili Wal Masâ’il En-Nejdiyya 4/38
42 A partir des propos du Cheykh, tu comprendras qu’il n’est pas une condition pour qualifier de mécréant celui qui commet un geste annulant l’Islam que ce dernier sache que son geste
est une mécréance ni qu’il soit conscient de sa gravité.
43 ‘Aqîdat Ul Muwahhidîn page 18. Note du traducteur : se trouve également dans Ad-Durar
Le Cheykh Muhammad Ibn ‘Abdelwahâb –qu’Allah lui fasse miséricorde- a dit « Un dieu, c’est ce que les gens de notre époque appellent « Le cheikh » ou « le Sidi », ceux en qui on croit qu’il y a une force mystique, que les gens pensent être capable de causer le bien et de repousser le mal. Celui qui a ce genre de croyance envers ces personnes là ou même envers un prophète ou qui que ce soit : il l’aura pris pour un dieu autre qu’Allah. Lorsque les fils d’Israël ont eu des croyances envers Jésus fils de Marie et sa mère, Allah les qualifia de dieux, Allah a dit « Et lorsqu’Allah dira « Ô Jésus fils de Marie, est-ce toi qui a dit aux gens « Prenez nous, moi et ma mère, pour des dieux autres qu’Allah » Il répondra « Gloire à Toi ! Je n’ai pas à dire de moi ce qui n’est pas vrai, si je l’avais dit Tu l’aurais su car Tu sais ce qu’il y a dans mon âme et je ne sais pas ce qu’il y a dans la Tienne ! Tu es le seul qui connaisse les mystères… » [Surate 5 verset 116] »41
Et le Cheykh ‘Abdullah Ibn ‘Abderrahmân Abû Butayn –qu’Allah lui fasse miséricorde- a dit « Lorsque l’homme sait ce que veut dire « dieu » et réalise que cela veut dire « l’adoré » et qu’il sait ce qu’est véritablement l’adoration, il se rendra compte que celui qui voue la moindre adoration à un autre qu’Allah aura adoré cet autre et l’aura pris pour un dieu même s’il évite de lui donner le nom de « dieu »42 ou « d’adoré » et qualifie son geste de « cheminement vers d’Allah » ou de « demande d’intercession » ou de « refuge » etc. L’associateur est un associateur qu’il le veuille ou non tout comme l’usurier est un usurier qu’il le veuille ou non, même s’il ne qualifie pas son geste d’usure, et celui qui boit du vin est un buveur de vin même s’il
donne à son geste un autre nom. »43
40 Taysîr Ul ‘Azîz El Hamîd pp. 80, 81
41 Majmû3at Ur-Rasâ’ili Wal Masâ’il En-Nejdiyya 4/38
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